Nintendo and chill // Peki

résistances

résistance à la douleur physique :
30%

résistance à la douleur morale :
15%

résistance à la pression :
50%

résistance à la solitude :
0%

résistance aux phénomènes inexplicables :
5%

forces

force physique :
5%

charisme :
20%

sincérité :
10%

capacité à raisonner :
55%

sang-froid :
10%

Peki, elle a pas eu une vie de ouf. Elle est née seconde d’une lignée de trois enfants ce qui fait d’elle ni la chouchoute ni celle sur qui tous les espoirs reposent. Surtout, que son grand frère a toujours eu tendance a volé le spotlight en faisant de la merde partout où il passe.

Alors elle a appris à vivre dans l’ombre des gens.

À ne pas se faire voir, a ne pas vouloir qu’on l’entende. C'était une enfant silencieuse, Peki, et elle l’est toujours autant. Ses parents s’en foutaient un peu. Ils étaient pas méchants, mais on a souvent vu mieux comme figures parentales. Ils auraient dû se rendre compte que quelque chose n’allait pas chez leur fille mais, non.

C’est une fois qu’elle entra à l'école qu’on se rendit compte qu’elle apprenait bien plus vite que les autres élèves de son âge. Elle fut rapidement diagnostiquée comme enfant précoce et sauta son CP.

Et puis ça aurait pu être tout. Mais non.

Ca lui a fait peur d’être la plus jeune dans une classe de grand et c’est resté jusqu'à maintenant. Elle s’est mis la pression. Elle refusait de décevoir ses parents, sa famille et ses quelques amis. Elle avait peur de faire honte à ses chers et tendre en se plantant à l'école. Ca arrive a tout le monde, surtout a ceux qui sautent des classes, il paraît.

Et elle est devenue peureuse à cause de ça. Elle arrivait pas à s'intégrer avec les plus âgés qu’elle alors qu’elle n'avait qu’un an de moins. Les autres la pensaient être une de ces bookworm à toujours être en train de réviser ses cours, ils ignoraient qu’elle ne faisait que fuir sa réalité.

Et puis elle commença à jouer aux jeux vidéo vers 14 ans. Ca lui est tombé un peu au hasard dessus, elle avait récupéré la console de son grand frère qui quittait la maison et commença a jouer a des trucs bidons type nintendog puis elle se mit à jouer de plus en plus tout en gardant, on ne sait comment, des notes exemplaires en cours.

Elle avait enfin trouvé un monde dans lequel s'échapper.

Alors elle jouait plus, plus, plus et encore plus. Pour la première fois ses parents s’inquietèrent et l'emmenèrent voir un psy qui leur révéla rapidement que leur fille était dépressive.

Et puis c’est tout.

Depuis, Peki se gave de médicaments tous les matins et continue de jouer autant tout en écoutant d’une oreille un cours qu’elle comprendra d’un coup en relisant ses notes de toute façon.

pseudo Sunnyage approximatif dans la 20enedécouverte du forum Partos ! en plus J'adore les chats