diamants ; end

résistances

résistance à la douleur physique :
25%

résistance à la douleur morale :
25%

résistance à la pression :
30%

résistance à la solitude :
5%

résistance aux phénomènes inexplicables :
15%

forces

force physique :
10%

charisme :
45%

sincérité :
5%

capacité à raisonner :
20%

sang-froid :
20%

On te pense fils unique, Moloch et cela vient surtout du fait que tu n’aimes que toi. La vérité, c’est que tu as un frère, Moloch. C’est lui l’ainé, celui qui autrefois a été aimé, celui qui doit donner l’exemple, se tenir droit, plus que toi. Celui que toi encore, tu voudrais dépasser : tu es déjà le préféré.
Alors oui, tu as aussi grandi sans manquer de rien : ta famille est aisée et tu le ressens bien. Tu es sans doute de ceux qu’on qualifie de fils à papa : tu sais quels couverts utiliser pour chaque plat et on ne t’a rien refusé lors de ton enfance. Mais toi, né second et toujours dans les jupons de ta mère, on ne t’a pas destiné un grand avenir : tu n’es pas celui qui héritera de l’entreprise familiale – tu n’en veux vraiment pas de toute manière, mais tu tentes encore de pouvoir tout posséder pour prouver le contraire à ton père.
Oui, tu es devenu le fils prodige avec le temps : repartie tranchante et faux semblant. Ton frère réussit encore là où tes mensonges le font paraître si frêles, si incompétents. Il n’a l’étoffe d’un gagnant : il se laisse étouffer par ses bons sentiments.
En somme, tu as sans doute passé toute ton enfance à tenter de le dépasser mentalement là ou lui était bien plus fort que toi physiquement : il n’a pourtant jamais tenté de lever la main sur toi et quand bien même il l’aurait fait cela aurait été réprimandé. Aussi, tu en as profité, Moloch, en le poussant à bout à chaque fois, en ressortant victorieux de toutes vos joutes verbales. Cela t’as fait gagner ta repartie en or, le simple don de ne jamais courber l’échine même lorsque tu étais en tord.
Oui, tu es un de ceux né avec une cuillère en or et qui n’ont jamais vraiment été élevé comme il l’aurait fallu. Non, tu ne ressens aucun remords.
Tu combles cela du mieux que tu peux.
Tu mens, encore. Tu t’excuses et derrière ta pitié transpire.
Tu es un beau parleur aussi, les réceptions familiales t’ont habitué à ne jamais trop en révélé sur toi, à en faire rêvé deux trois en maquillant les verbes utilisés ici et là. Tu te demandes encore comment tout ce beau monde peu exister et quand ils retourneront tous à la nouvelle ère de la société.
Avant les astrales, tu étais aussi sans doute de ceux qu’on disait aimées : tu aimais bien rester en compagnie de la gente féminine et elles te le rendaient bien. Tu as le ragot facile Moloch, mais ta gueule d’ange empêchait les gens de te détester. Tu espères t’en sortir avec facilité dans ton nouveau foyer : le manque de technologie ne te gêne pas toi qui te contentes d’observer le petit peuple et de t’en moquer ouvertement. Ou bien encore de t’occuper autrement.
C’est sans doute aussi pour ça que tu as obligé ton père à te laisser rentrer dans un cursus pareil : tu lui as dit qu’être sélectionné, c’était quand même quelque chose et que oui, tu ferais partit des meilleurs. La vérité, c’est aussi sans doute que tu comptes faire ce que tu veux de ta vie, encore sans qu’il n’en sache rien. Mais de toute façon toi, le chouchou, tu ne risques rien. Et tu n’aimerais vraiment poser un pied hors de ton piédestal. Alors tu comptes juste être toi Moloch même si le bâtiment est vraiment paumé. Tu te demandes encore si tu n’aurais pas mieux fait de rejoindre le club nature quelques fois : ouai le grand air ça t’aurais sauvé, mais les caïds qui y sont inscrits avaient vachement moins l’air sympa que ceux de ton club actuel. Enfin, au moins tu peux faire semblant de t’intéresser aux problèmes des gens et te marrer en tenter de les aider.

pseudo mrs age approximatif  découverte du forum c'est encore Holly en plus send help